Fridays for Future

« Puisque nos leaders se comportent comme des enfants, nous sommes obligés d’assumer la responsabilité qu’ils auraient dû endosser il y a bien longtemps. » . C’est par ces mots que Greta Thunberg, suédoise de 16 ans, défend la mobilisation.

Tout a commencé en août, au moment des élections législatives en Suède. Elle décide alors de ne pas assister aux cours chaque vendredi pour inciter les dirigeants à agir contre le changement climatique et à respecter les accords de Paris.
Sa mobilisation prend de l’ampleur dans de nombreux pays d’Europe mais également au Canada et en Australie, à l’appel de Fridays for Future.